La tribune du citoyen-scientifique...

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    Petit curriculum vitae
    Quelques mots sur l'esprit des articles que Robin Goutallier se propose d'écrire pour le site du lycée Uruguay-France

  • "la fission nucléaire : entre phantasmes et réalités ..." 1ère partie
    Tribune de décembre 2001
    Cette 1ère partie traite essentiellement de la place qu'occupe la "fission nucléaire" dans les débats scientifiques et politiques.

  • "la fission nucléaire : entre phantasmes et réalités ..." 2ème partie
    Tribune de janvier 2002
    Cette 2ème partie est indissociable de la première : elle complète l'analyse du phénomène de fission nucléaire en s'attardant sur les notions plus techniques de sécurité, de déchets nucléaires et de recherches d'avenir entreprises dans ce domaine.
  • Indignation de dernière minute (15 janvier 2002):
    Quand les hommes politiques oublient de réfléchir ...

  • "la fusion nucléaire ou ... une possible solution aux problèmes énergétiques"
    Tribune de février 2002

    Non le nucléaire n'est pas mort ! Non le nucléaire n'est pas à bannir comme un mauvais rêve qu'aurait fait l'humanité ! De l'énergie, d'origine nucléaire ou pas reste de l'énergie et nous en avons un grand besoin .Du coup, la fusion nucléaire est peut être le plus beau rêve qu'ait fait l'humanité, n'en déplaise à ceux qui oublient d'être pragmatique!"
  • Dossier plus technique (niveau maîtrise de physique) sur la fusion par confinement inertielle
       
    • "la science et l'opinion publique"
      Tribune de avril 2002

      Tantôt encensée, tantôt dénigrée : quelle est donc la vision que les citoyens non scientifiques ont de la science ? Est ce révélateur ou non d'un reniement de l'apport des sciences dans une société ? Quelle sont finalement les rapports que l'on doit souhaiter entre scientifiques et citoyens ? Vaste problème...
     
    • "les scientifiques et la guerre"
      Tribune de novembre 2002

      Cela n'aura échappé à personne : le XXième siècle a connu de très nombreuses guerres dans lesquelles la science a pris une part croissante. Deux questions me trottent donc dans la tête : quelle est la responsabilité des scientifiques là dedans ? Doit on remettre en cause la notion de progrès ?
     

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